Il en ressort, en substance :
- Une hausse des recettes ordinaires de 10,4 %, résultant de l’augmentation des impôts directs (+14,2 %), des droits de douane (+5,4 %), des impôts indirects (+13,9 %) et des droits d’enregistrement et de timbre (+6 %), conjuguée à une baisse des recettes non fiscales de 4,6 % ;
- Une augmentation des dépenses globales de 3,3 %, due à la hausse des dépenses de biens et services (+7,1 %), elle-même attribuée à l’accroissement des dépenses de personnel (+7,6 %) et des autres biens et services (+6,4 %), à l’augmentation des charges d’intérêts de la dette (+15 %), des remboursements, dégrèvements et restitutions fiscaux (+47 %), et des dépenses d’investissement (+0,7 %), conjuguée à une diminution des émissions de dépenses au titre de la compensation (-52,4 %) ;
- Un solde ordinaire positif de 23,5 MMDH et un déficit budgétaire de 40,5 MMDH.
Source
Trésorerie Générale du Royaume
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